Où passe l’aiguille

Véronique Mougin


 

Ça parle de ❓

Hongrie, 1944. Tomi a 14 ans. Depuis qu’il a découvert que sa mère n’était pas sa vraie mère, il est devenu est garçon particulièrement difficile qui n’en fait qu’à sa tête. Son père est tailleur et il rêverait voir son fils suivre le même parcours. Mais il en est hors de question. Tomi a choisi la plomberie.
Mais les tristes évènements de la seconde guerre mondiale en décideront autrement. Toute la famille est déportée. Tomi restera avec son père et pour sauver sa peau il n’aura pas peur de dire que lui aussi est tailleur. Il n’imaginait pas à quel point ce mensonge changerait sa vie.

Qu’est-ce que j’en ai pensé ⁉️

Contrairement à ce que promettait la petite pastille sur la couverture je n’ai pas eu de coup de cœur.
J’ai préféré la première partie du roman, l’enfance de Tomi. J’ai trouvé que la passion de la couture est arrivée tard dans le roman et pourtant quand elle est arrivée je n’ai pas été emballée car cette seconde partie est nettement moins émouvante.
Une lecture qui reste très intéressante et qui permet de ne pas oublier les heures sombres de l’histoire mais qui n’a pas réussi à m’émouvoir jusqu’au coup de cœur.

Je remercie les éditions J’ai Lu et l’auteur pour l’envoi de cet exemplaire dédicacé.

En librairie le 2 janvier.

Ma note : 3/5

🌟🌟🌟 Bien aimé

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